Il y a parti à prendre, partout, sur tout. Il y a avis à donner, opinion à dire, tripes à mettre sur la table. Exprimer sa liberté.
Je déjeunais avec Nicolas C. l'autre jour, à la fin des années Dix. Et il me disait qu'il fallait que je remette en route ce blog. Ressortir mes antennes, ne plus céder à la paresse des petits posts vivement troussés sur Facebook, Instagram ou Linkedin....
Lire la suiteJe jouais, ces années passées, à vous faire partager quelques impressions littéraires de saison. Il y était question de vœux. En voici quelques exemples. C'était amusant, non ? Les auriez vous trouvés, ces textes ? Vous avez tout 2018 pour les débusquer,...
Lire la suiteQuoi, vous rouvrez votre blog ? Mais quelle miche vous pouque ? Quel toupet! On avait bien cru, à ne vous plus jamais lire, que vous l'avez fermé, votre blog, et fermée, votre bouche. À jamais. Eh non. Mais la procrastination est encore trop forte. N'allez...
Lire la suite« Je veux que tu viennes pas ». Toussaint Caillet, grand blessé de la face en 1916 veut que Jeanne, sa femme, « vienne pas » le voir au Val-de-Grâce. Elle vient pas. Un jour, des mois plus tard, celui qu’il est devenu de reconstruction en bricolage, un...
Lire la suiteEst-ce que je prends un risque en disant que le cinglé qui est allé faire le mariole avec un fusil à BFMTV, puis à Libération et au siège de la Société Générale en tirant comme un malade est … un malade ? Qu’il n’est pas un danger pour la liberté de l’information...
Lire la suiteJusqu’à ces derniers jours, s’était développée en France une situation finalement normale dans notre histoire. Les Français avaient beau être le peuple le plus cartésien du monde, le plus raisonnable au fond, ils étaient aussi réputés querelleurs, rebelles,...
Lire la suitePour Marseille, Capitale Européenne de la Culture 2013 dès ce samedi, un vieux texte retrouvé / Un souvenir de canicule pour se réchauffer / Un exercice d'imagination symboliste : j'ai toujours aimé ce style pompier qui allume le feu... Balsamique bal...
Lire la suiteDeux-mille-treize, comme il y a eu Quatrevingt-treize, en toutes lettres, comme un roman (pas comme un département). De quelle fin de révolution compassée, de quelle Terreur douce l’année qui vient est-elle le nom ? Je ne vois qu’une issue : on va s’armer....
Lire la suiteLa grenouille d’une langue habile a gobé le moustique distrait Qui dardait un rostre lubrique et, dans la touffeur de la nuit, S’était alourdi d’une goutte de ce sang bleu qui avait fui De la veine ouverte au silex d’Ophélie de la Rouvraie. La fiancée...
Lire la suiteAux temps engloutis de notre puissance industrielle, outre tous les poncifs dont on nous accable et qui ne recouvrent plus aucune réalité (cartésiens, bagarreurs, ingérables, spirituels), nous étions simplement ce que nous étions : un grand peuple européen...
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